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Collectif de recherche sur les innovations économiques, sociales et territoriales (CRIEST)

Le CRIEST est un collectif de recherche multidisciplinaire (géographie, sociologie, économie, travail social, développement régional, anthropologie) et multi-institutionnel (UQAM, UQAC, UQAR, TÉLUQ, Université de Sherbrooke, Université Grenoble Alpes) regroupant neuf chercheurs membres et deux chercheurs collaborateurs. À l’exception d’un collaborateur, tous les chercheurs sont membres réguliers du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES). Ils participent aussi à divers titres à l’organisme de liaison et de transfert Territoires innovants en économie sociale et solidaire (TIESS). Le collectif a été créé en 1995 par J.-M. Fontan, J.-L. Klein, B. Lévesque et D.-G. Tremblay. Depuis 2014, il est subventionné par le Fonds de recherche québécois Société et culture (programme Soutien aux équipes de recherche). Les travaux de recherche de ses membres sont aussi financés par diverses organisations (Conseil des recherches en sciences humaines du Canada [CRSH], FRQSC, Villes et municipalités, ministères, fondations, etc.).

La programmation de recherche 2014-2018 a porté sur des expérimentations en milieu local (métropolitain, urbain et rural) dans lesquelles le leadership est partagé ou dans lesquelles on cherche à le partager et dont le but est d’accroître les capacités de la collectivité locale pour infléchir les conditions qui génèrent la dévitalisation.

La programmation actuelle (2018-2022) vise à analyser dans quelle mesure les nouveaux modèles d’action en développement territorial favorisent la construction des capacités réflexives susceptibles d’accroître de façon durable le bien-être des communautés et de transformer les facteurs qui y font obstacle. Notre cadre d’analyse s’inscrit dans un nouveau paradigme émergeant, à savoir le paradigme de la transition, laquelle doit combiner les sphères sociétale et écologique. Notre hypothèse est que les initiatives qui prennent naissance dans les milieux de vie peuvent combiner ces deux sphères et ainsi devenir des alternatives sociétales. Cette hypothèse prend appui sur deux approches conceptuelles, celle des communs et celle du buen vivir, que notre programme de recherche vise à imbriquer davantage.

Pour des exemples de travaux collectifs réalisés par les membres de l’équipe, voir :

Tremblay, D.-G, Klein, J.-L. et J.-M. Fontan (2016). Initiatives locales et développement socio-territorial, Québec, Téluq et Presses de l’Université du Québec;

Fontan, J.-M., Klein, J.-L., Caillouette, J.,  Doyon, M., Lévesque, B. Tremblay, P.-A., Tremblay, D.-G. et C. Trudelle (2017, daté de 2014). Vers de nouveaux modèles d’action en développement territorial : l’expérimentation à l’échelle locale de la transition vers le « buen vivir », Économie et solidarités. Vol. 44, Nos- 1-2, p. 84-102;

Klein, J.-L., D. Bussières, J. Caillouette, M. Doyon, J.-M. Fontan, D.-G. Tremblay et P.-A. Tremblay (2015). Saint-Camille : Récit d’une expérience de co-construction de la connaissance, Montréal, Université du Québec à Montréal, Centre de recherche sur les innovations sociales, Cahier no. ES1505.

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